Dans le Rhône, cela fait déjà trois ans que la cuma de la Roche utilise Mycuma planning. Avec une trentaine de matériels pour 15 utilisateurs, elle réalise 90 000 € de chiffre d’affaires. « Ce dernier a été multiplié par 3 en 5 ans, annonce Aymeric Morel, le trésorier. Il y a eu l’arrivée de nouveaux adhérents et beaucoup d’investissement, surtout pour l’activité viticulture. »
Remettre à plat le système de réservation
Depuis quelques années, c’était le président de la cuma qui centralisait les réservations pour tout le monde. « Cela devenait très compliqué pour lui », fait remarquer Aymeric Morel. Avec l’arrivée de nouveaux adhérents, un Dina a été mis en place afin de redynamiser la cuma. « C’est à ce moment-là que nous avons fait le choix de partir avec Mycuma planning », souligne le trésorier. Pour la mise en route, les plus jeunes ont donné un coup de main aux plus anciens. « Certains jeunes étaient référents pour ceux qui avaient le plus de mal à se familiariser avec le système. Petit à petit, tout le monde est devenu autonome », ajoute-t-il. L’arrivée de l’application sur les smartphones a encore simplifié les choses.
Plus de fluidité
Le trésorier constate tout d’abord que : « Cela apporte plus de fluidité dans la circulation du matériel. Nous avons une cuma avec des adhérents assez éloignés les uns des autres. Chacun a son espace de réservation et il est aussi possible de voir l’ensemble des matériels et s’ils sont disponibles ou déjà réservés. » Pour cette année, la cuma a décidé de franchir un autre cap. « Les adhérents vont aussi saisir le nombre d’heures ou d’hectares effectués. Pour moi qui suis trésorier, je pourrais ainsi intégrer ces données directement dans la compta pour la facturation sans avoir à tout ressaisir. L’idée est de dire adieu aux carnets papier. »
Soulager les responsables des matériels
La cuma de Champdieu, quant a elle, a adopté Mycuma planning en 2021 pour simplifier le système de réservation. Les cinquante matériels sont stockés chez quelques adhérents qui en sont les responsables. « Chaque responsable avait un calendrier et il fallait lui téléphoner pour réserver un matériel, indique Séverine Brun, trésorière de la cuma. Il fallait qu’il réponde et qu’il ait le calendrier sous les yeux. Certains laissaient des messages et le responsable devait rappeler. Cela leur demandait beaucoup de temps et pouvait être source d’erreur. »
Moins de temps mort
Il y a eu également quelques réfractaires parmi les plus anciens. « Cela leur a permis de passer sur smartphone et les plus récalcitrants ont finalement trouvé ce système de réservation très pratique », poursuit la trésorière. Cette dernière constate aussi qu’il y a moins de temps mort dans l’utilisation des matériels. « C’est un peu plus compliqué avec certains matériels durant les périodes de pointe, nuance-t-elle, mais on communique pour s’arranger, le dialogue existe toujours entre les adhérents. Le fait de voir où se trouve le matériel permet de gagner du temps. »
Là aussi, l’objectif est d’arrivée à se passer des carnets dont certains ont pris l’eau cette année. « Les adhérents vont pouvoir enregistrer les heures ou hectares, ce qui rendra ensuite beaucoup plus faciles les facturations, observe Séverine Brun. Au début on sélectionnera simplement quelques matériels afin que tout le monde puisse se familiariser avec cette évolution. »
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