[Haute Marne] Une cuma ancienne mais des idées nouvelles!

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[Haute Marne] Une cuma ancienne mais des idées nouvelles!

Les deux batteuses de la cuma d'Esnoms ont réalisé 110 et 135 heures durant les moissons 2018.

Depuis les années 60, date où la cuma d'Esnoms-au-Val a vu le jour, les activités ont bien changé. Mais il perdure une notion d’entente et de solidarité locale qui a amené les nouvelles générations à utiliser cette formule collective pour des chantiers de plus en plus nombreux. Rencontre.

A Esnoms-au-Val, petit village à la pointe sud de la Haute-Marne, les moissons 2018 se sont déroulées sans accroc pour les deux groupes de 4 et 8 exploitations. Toutes les deux en seconde année d’activité, les machines réalisent respectivement 110 et 135 h par an.

Depuis les cinq dernières années, les jeunes générations impliquées dans le groupe ont clarifié leur stratégie et souhaitent que la cuma les accompagne durant longtemps, avec des outils fiables et efficaces. Depuis 2014, pas moins de 18 machines (dont 5 automoteurs) ont été achetées ou renouvelées.

Trouver un équilibre

Pour ce faire, une réflexion sur le court terme et le long terme a été engagée et complétée par un DiNA cuma, notamment sur les durées de financement, les stratégies d’amortissement longues et le niveau de capital social pour trouver un équilibre entre tarif, implication financière et stabilité du groupe.

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